J'ai lu un livre intitulé "Rareté", dans lequel l'auteur cite de nombreux cas d'expérimentation pour exposer plusieurs points de vue. La rareté est d'avoir moins que la demande. L'état d'esprit de rareté capte l'attention, réduit la cognition et l'exécution, il existe dans l'inconscient et influence la perception du monde environnant. En résumé : le piège de la rareté, qui fait que l'on vit au-dessus de ses moyens, ne sachant pas comment répartir les ressources, et se sentant perdu dans d'autres aspects de la vie. Cela rend les gens plus stupides et impulsifs. Nous devons, dans un contexte où notre intelligence fluide et notre contrôle exécutif diminuent, compter sur une capacité mentale encore plus limitée pour survivre. La vie devient ainsi difficile. Je pense aux trois segments que M. Lu a mentionnés : couper le vrai du faux, couper le grand du petit, couper le lointain du proche. Je pense aussi à "il n'y a rien en dehors de l'esprit" et "il n'y a pas de raison en dehors de l'esprit". Pour utiliser les mots de M. Yangming, l'état d'esprit de rareté est la nature de l'esprit asservie par l'extérieur, entraînant une perte d'autonomie. La solution des étrangers est d'ajuster l'extérieur pour créer une zone de confort, en soulignant l'importance d'avoir du temps libre. Par exemple, commencer à épargner lorsque l'on vient de recevoir un salaire. En revanche, M. Yangming, en allant droit au but, vous dit de garder votre esprit clair et de faire des choix judicieux même dans les limites de la rareté des ressources. En comparaison, les étrangers investissent tant d'efforts dans des méthodes scientifiques rigoureuses et sophistiquées, mais ce n'est que la surface, ils n'ont vraiment pas compris ce que les sages anciens ont étudié.
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